“Nous utiliserons toute la santé et toute la vie que Dieu nous a données pour sa gloire et son œuvre.” Vénérable Père Gailhac
Dès son plus jeune âge, le père Gailhac a fait preuve d’une grande compassion à l’égard de toute personne dans le besoin. Cette compassion et ce dévouement total aux malades se développèrent encore plus profondément chez Gailhac lorsqu’il fut nommé aumônier de l’hôpital le 12 septembre 1828. La lecture de l’histoire du RSHM montre clairement comment notre fondateur a touché la vie de tant de personnes, transformant leur vie et leur permettant de faire l’expérience d’une guérison holistique,
Suivant les traces du Père Gailhac et remplies de zèle et d’enthousiasme, les sœurs RSHM de la région du Zambèze ont ouvert une clinique au Zimbabwe le 3 septembre 2022. Leur désir était d’apporter la vie et la guérison aux habitants de Chinhoyi et d’ailleurs.
La vie à la clinique s’inspire de la vie de notre fondateur. Comme Gailhac, le personnel de la clinique cherche à répondre aux besoins de santé de la population locale comme Jésus l’a fait. Le personnel de la clinique s’efforce tout particulièrement de donner à tous ceux qui viennent la possibilité d’apprécier le don de la vie et d’être mieux informés sur la manière dont ils peuvent prendre soin d’eux-mêmes.
Les sœurs de la RSHM qui vivent et travaillent à Chinhoyi touchent aujourd’hui la vie de nombreuses personnes en répondant à leurs besoins en matière de santé. Le premier bébé mis au monde à la clinique a été nommé Gailhac, avec le consentement de la mère, en hommage à notre fondateur.
Le père Gailhac était particulièrement sensible à toute RSHM malade : “En ce qui concerne les besoins physiques, vous devez vous occuper de vos filles dans la santé et la maladie, vous assurer qu’elles ne manquent de rien”. C’est pourquoi la clinique s’efforce également de répondre aux besoins de santé des travailleurs de l’Église dans le diocèse de Chinhoyi.
Tous les malades sont accueillis à la clinique avec amour et gentillesse, afin que :
TOUS PUISSENT AVOIR LA VIE ET L’AVOIR EN PROFONDEUR (Jean 10:10
